Les résultats du mouvement seront consultables sur I-Prof à partir du 3 juin. Nous vous rappelons qu’en application de la loi de transformation de la fonction publique, les organisations syndicales ne sont pas, et ce depuis deux ans, destinataires du projet…

Pour autant, les délégués du SNUDI-FO seront disponibles pour répondre à toutes vos questions et vous aider à formuler un recours.

Des recours sont possibles, pour cela, il faudra passer par COLIBRIS :

Un recours en mandatant FO : 

– Contre une absence de mutation : si vous n’avez obtenu aucun de vos voeux,

– Contre une affectation d’office : si vous avez obtenu un voeu que vous n’avez pas formulé ou par le voeu MOB

– Sur un vœu non obtenu : vous pouvez formuler un recours de droit commun si vous estimez que vous avez été lésé(e) et que vous n’avez pas obtenu un de vos vœux.

– Sur un vœu qui vous place en difficultés.

Le syndicat peut vous aider à rédiger un recours et vous représenter auprès de la DPE pour défendre votre situation afin d’obtenir une affectation plus favorable. Pour cela, il faudra indiquer dans COLIBRIS souhaitez être assisté par FO.

ATTENTION : avant de formuler votre recours sur COLIBRIS, il faut rentrer en contact avec le syndicat afin que nous vous indiquions le nom du délégué FO qui vous représentera.

snudifo71@gmail.com

Pour nous joindre avant de formuler votre recours : par mail snudifo71@gmail.com  nous vous indiquerons la marche à suivre.

En effet, l’article 51 de la loi 84-16 du 11 janvier 1984 qui a été modifiée en 2019 précise que les collègues qui sont en disponibilité pour élever un enfant de moins de 12 ans conservent leur droit à avancement pendant 5 ans sans démarche particulière.

Quant aux collègues en disponibilité pour convenance personnelle ou création/reprise d’entreprise ou pour donner des soins à un enfant, au conjoint ou à un ascendant ou pour suivre son conjoint, ils ont eux aussi la possibilité de conserver leur droit à avancement mais sous certaines conditions : ils doivent avoir au moins 4 ans de services effectifs depuis leur titularisation et exercer une activité professionnelle.

Mais il faut transmettre à l’administration votre demande et les documents nécessaires avant le 31 mai pour faire reconnaître le temps de disponibilité et votre droit à avancement. 

 Circ. n° 80-2025 – Pétition UCR – Abattement 10%.pdf

 Annexe 1 Circ. n° 80-2025 – Argumentaire UCR sur la suppression de l’abattement fiscal de 10% po…

 Annexe 2 – Circ. n° 80-2025 – Pétition UCR-FO.pdf

La Commission exécutive confédérale, réunie ce jeudi, n’attendait rien de l’interview du Président de la République, elle n’a donc pas été déçue.

Elle réaffirme son opposition aux mesures qui entre autres étranglent les services publics et la sécurité sociale.

La Commission exécutive souligne que derrière la vitrine « Choose France », dernier mythe survivant de la mondialisation heureuse, la réalité est toute autre : la multiplication des défaillances d’entreprises, des fermetures d’usines, des restructurations, des suppressions d’emplois touchent l’ensemble du pays. Pour la CE, l’exigence de réindustrialisation mérite mieux que de la communication. Or, aucune mesure concrète n’a été annoncée sur ce qui doit désormais être une priorité. La CE revendique un véritable plan en faveur de l’industrie associant souveraineté économique, intervention de l’Etat, soutien aux investissements et à la recherche et développement, formation des salariés et la conditionnalité des aides publiques aux entreprises, dont la première le maintien de l’emploi.

Le remboursement doit être demandé en cas de suppressions d’emplois.

Alors que les besoins pour la protection sociale et les services publics, en particulier l’école et l’hôpital, sont immenses, la CE ne veut participer ni à l’instrumentalisation, ni à l’intégration des organisations syndicales de salariés dans une « économie de guerre », synonyme de renoncement et d’abandon des revendications des travailleurs.

Alors que l’on célèbre cette année les 80 ans de la sécurité sociale, FO défend un modèle qui a toujours démontré sa pertinence, garantissant l’égalité des droits pour toutes et tous, indispensable à la cohésion sociale de la République. La commission exécutive dénonce l’affaiblissement de ce modèle, basé sur le salaire différé (cotisations sociales) et la fiscalisation toujours plus poussée de son financement et ne participera pas à son démantèlement.

La commission exécutive réaffirme ses revendications pour l’augmentation des salaires, du public comme du privé, l’amélioration des conditions de travail, le développement des services publics.

Sur ces bases, la CE appelle à l’organisation de réunions avec les salariés dans les entreprises, les administrations, les services, dans les localités, pour informer de nos positions et revendications, en particulier le maintien de la sécurité sociale de 1945 fondée sur le salaire différé et l’abrogation de la réforme des retraites, contre une réforme universelle par points ou par capitalisation. La CE s’opposera à toute remise en cause de la sécurité sociale et de nos retraites

Monsieur Emmanuel MACRON

Président de la République

Palais de l’Élysée

55, rue du Faubourg Saint Honoré

75008 Paris

Paris, le 23 mai 2025

Objet : Situation à Gaza

Monsieur le Président de la République,

Monsieur le Président de la République, les horreurs à Gaza doivent cesser. Chaque jour les bombardements israéliens sur Gaza redoublent d’intensité, blessant et provoquant la mort de centaines de civils palestiniens, dont de nombreuses femmes et leurs enfants. Chaque jour, malgré les alertes et les condamnations internationales, le gouvernement israélien poursuit son objectif de destruction de Gaza.

Cette situation est intolérable.

Je vous demande, Monsieur Le Président de la République, ainsi qu’à votre gouvernement, de condamner fermement les agissements du gouvernement israélien, d’exiger un cessez-le-feu immédiat et de tout mettre en œuvre pour obtenir l’arrêt définitif des massacres et des bombardements. Le blocus des convois humanitaires qui conduit à affamer et à priver de soins la population, confrontée à des déplacements massifs doit cesser tout comme les livraisons d’armes à Israël.

La France doit s’y engager concrètement. Elle doit prendre des mesures pour mettre fin à cette guerre, obtenir la libération de tous les otages et donner aux peuples israéliens et palestiniens l’assurance de la sécurité, du respect et d’une paix durable.

Pour Force Ouvrière, un avenir de paix durable et de sécurité doit être assuré pour ces populations afin qu’elles puissent se construire un avenir pour elles-mêmes et ses enfants.

Paix, Pain, Liberté !

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre plus haute considération et de notre profond attachement aux valeurs de la République.

Frédéric Souillot

Secrétaire général

La retraite se prépare bien en amont. Ce stage n’est donc pas réservé uniquement
aux « retraitables ».
Dans ce stage, vous apprendrez entre autres son histoire, ses textes et surtout
comment elle se calcule.

Infolettre n° 54
SRIAS : Mise en ligne d’une nouvelle action sur le site de la SRIAS

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